Quand l’amour s’en va

8022011

« Quand l’amour s’en va, soit reconnaissant, trouve un autre passe temps » dit une chanson que je viens d’entendre pour la première fois à la télé. J’aime beaucoup cette légèreté dans la vision de l’amour et de la vie.

J’ai moi-même récemment  vécu un chagrin d’amour, j’ai cru que je ne m’en remettrai jamais, tellement je me sentais mal et surtout j’en voulais à la personne responsable de mon chagrin. Je croyais surtout que dans cette histoire le seul fautif c’était l’autre. J’oubliais qu’il fallait être deux pour se faire du mal. J’ai donc passé mon temps à maudire cet homme dans mes prières, dans mes pensées, dans tout ce qui m’arrivait de mal. Je croyais bêtement que si les choses n’allaient pas bien pour moi c’est parce que j’avais perdu l’amour de cet homme.

Mais, heureusement que je me suis réfugié dans la prière. Oui, je suis une croyante pratiquante et j’ai toujours cru en Dieu, même dans mes moments les plus sombres , j’ai toujours cru dur comme du fer que Dieu me réservait quelque chose de merveilleux. Alors quand mon histoire d’amour que je croyais éternelle s’est arrêté du jour au lendemain, je me suis investie à fond dans la prière. J’ai invoqué Dieu de toute mon âme, de toute mes forces et avec tout mon amour pour la vie. Il m’a répondu en me montrant les secrets de la vie spirituelle.

Voilà , j’ai trouvé mon passe-temps favori : la recherche progressive des choses qui ont attrait au paranormal et c’est un réel plaisir. J’y découvre des choses qui me font peur en même temps qu’elles m’émerveillent. Je crois que c’est ça la grâce divine. Ma meilleure amie me dit que ce que je vis spirituellement ça fait partie de ce j’invoque. Elle m’a rappelé « les sept dons sacrés »du Saint Esprit que nous demandons dans nos prières.

Nous les chrétiens catholiques nous avons des prières toutes faites que nous  récitons tous les jours quand nous pensons qu’elles nous parlent, en fonction des circonstances. Moi, ces derniers temps j’invoquais celles relatives au Saint Esprit afin de me donner les sept dons sacrés( catéchisme du pape Pie X). Et d’après mon amie ces choses que je vis et qui m’effraient quelque peu, font partie de ces dons ; je n’ai pas à les repousser parce que j’en ai peur, mais à les accepter et à vivre avec comme si de rien n’était. Même si ce n’est pas évident, je dois essayer.

Désormais mon passe-temps c’est Dieu à travers la prière, l’observation de tout ce qui m’entoure, la nature, les livres qui me rapprochent de lui, quels qu’ils soient : la Bible, les livres ésotériques, toutes les mythologies…

Quand l’amour s’en va, il est bon de revenir à ce qui est l’essence même de notre vie, notre raison d’être sur terre, c’est à dire le  bonheur. Et plutôt que de rechercher le bonheur aveuglément à travers l’autre et les joies futiles et éphémères de la vie, il faut le rechercher à travers l’amour pur et fort; l’amour du Soi.




vivre sa vie

3022011

J’aime beaucoup croire qu’un jour ma vie va radicalement changer, que je vivrai une véritable révolution. Pour la plupart des gens, je ne suis qu’une grosse rêveuse et qu’il serait peut-être temps que je descende de mon nuage pour voir le monde tel qu’il est vraiment. Moi, je pense qu’ils ont tort de me juger de façon aussi péremptoire car le rêve ça fait partie de la vie , et plus on vit plus on a des rêves. Franchement, je plains les gens qui n’ont pas de rêves et qui passent leur temps à hésiter et calculer chaque pas qu’il avance  face à cette grande route vers l’aventure que la vie offre. Ils ont peur de se lancer et d’oser vivre pleinement leur rêve.

J’ai toujours eu l’âme d’une aventurière doublée d’une rêveuse car j’ai toujours fait confiance en la bonté de l’être humain. Je pense qu’on peut faire confiance aux gens qu’on rencontre sur notre voie tout en gardant une parcelle de prudence. Il m’est arrivée bien souvent de me retrouver dans des situations qui ne laissaient rien présager de bon au départ, et par la suite de m’en sortir sans trop de dégat et même avec un franc succès.

Je me souviens de cette fois où je me suis présentée à un entretien d’embauche sans avoir une autorisation de travailler, mais j’avais besoin de travailler car il fallait bien payer mon loyer. J’ai tout simplement pensé qu’il fallait tenter ma chance.Quand on a retenu ma candidature pour le poste, je ne me suis pas alarmée outre mesure, je me suis contentée de présenter la photocopie de mon titre de séjour en  expliquant à mon futur employeur qu’il lui suffisait de me signer une promesse d’embauche à présenter à la préfecture et le tour était joué! Ce qui fut fait; et je signais ainsi mon premier CDI en France, alors que les plus pessimistes me promettaient des mois de galère, à moi femme immigrée, issue des « minorités visibles » dans cette grande jungle qu’est le marché de l’emploi.

Eh oui! comme dit le proverbe, qui ne risque rien n’a rien!emoticone

 







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